vendredi 13 mars 2015

Sucre - Capitale constitutionnelle



Il y a de ça quelques siècles, Sucre était l'un des centres culturels et universitaires les plus importants du continent, le siège du tribunal de Charcas qui gérait tout le haut Pérou et sa proximité avec les gigazillon de tonnes d'argent de Potosí en faisait une ville plus que prospère pour les colons espagnoles (Si ça vous intéresse d'en savoir plus...je vous laisse lire)



Depuis .. bein les mines d'argent sont vides, la Bolivie est devenue indépendante et le pouvoir a été transféré à la Paz....
...mais il y a pas à dire la ville à encore de beaux restes.

Et surtout...c'est une étape névralgique du Gringo Trail sud-américain...
C'est ici que les touristes à moyen (ou long) termes s'arrêtent un peu plus longtemps qu'ailleurs pour apprendre (ou tenter d'apprendre) l'Espagnole.

J'ai donc passé les matinées de ces deux dernières semaines en compagnie de Verónica, ma prof, qui s'est évertuée avec courage à m'inculquer quelques notions de grammaire (vu qu'apparemment la seule phrase, en espagnol, que je connaissais avec un verbe conjugué : "Vamos a la playa", n'allait pas m'être d'une grande utilité en Bolivie)

Les après-midi...je glandouille dans les cafés


et visitent quelques trucs comme :

la casa de la libertad où a été proclamée l'indépendance en 1825,



la Recoletta, quartier surplombant la ville,





la flachtrée d'églises et de couvents,




des musées, des marchés, des cimetières,




et entre tout ça faut encore que je dompte Napoléon, le chaton de l'hostel qui trouve très agréable de s'endormir toute les nuits sur mon visage.


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